J'ai mis de l'or...
Eh bien ça y est, après les émois familiaux de Noël, la nuit de la Saint-Sylvestre a été la fête de l'amitié et de la bonne chère.
Nous étions 19 à Charmes, réunis autour de la grande table que Charles et moi avons paré au mieux.
La chère était bonne et surtout le fruit d'une intense collaboration entre les participants.
Les femmes étaient belles et chacun avait fait un effort pour paraître au mieux de sa forme...
Bon, puisque certains d'entre vous me l'ont demandé, j'inclus ici une représentation de l'apparence que je m'étais composée, et cela bien que depuis longtemps je ne compte plus ma carrosserie comme mon alliée principale.
Come Dalida, j'ai mis de l'or dans mes cheveux (ce sont les traversins qui ont été contents après...) et pour parachever le chef d'oeuvre j'ai remercié Dieu d'avoir fait grossir mon général d'oncle tant et si bien que j'ai hérité de ses tenues de cérémonie.
Voici donc le résultat, je vous le livre puisque j'en ai eu la demande et avant que Sophie ne cède aux demandes qui lui ont été faites ; Dieu seul sait ce qu'elle pourrait être tentée de transmettre... il est clair que je préfère garder le contrôle de la chose...
No comment
Je joins tout de même une photo de moi un peu plus naturelle pour que les amis qui me font l'honneur de se promener sur mon blog, n'aillent pas s'imaginer que je me ballade en pingouin d'opérette toute l'année.
Celle ci date de l'été dernier...
Maintenant vous pouvez tous mettre une image sur celui qui vous souhaite la réalisation de tous vos rêves, l'accomplissement de toutes vos ambitions, l'harmonie de toutes vos amours.
Je ne vous souhaite pas la sérénité pas plus que les certitudes, je vous souhaite toutes les luttes contre vous mêmes, les autres et les éléménts qui vous forgeront non pas la vie que l'on vous destine mais celle que vous aurez choisie.
Je vous souhaite toutes les interrogations, toutes les inquiétudes et tous les repentirs au bout desquels il y a la joie incomparable d'exercer son intelligence, d'acquérir son autonomie dans un monde de décérébrés.
Je vous souhaite tout ce que vous voulez et tout ce que je veux pour vous.
Je vous redis à cette occasion à quel point, grâce à vos blogs, je respire un air de salutaire impertinence et de justifiante tendresse pour lequel je vous remercie tous.